On ne parlera pas d’art floral mais de fleurs au service de la liturgie. Le bouquet n’est qu’un moyen, il est là pour être louange. Il travaille la sensibilité par l’intermédiaire de la vue. C’est dans la beauté de la nature que Dieu se révèle.
On citera Jean-Paul II dans sa Lettre apostolique Vicesimus Quintus Annus, en 1998 :
« Les signes, surtout les signes sacramentels, doivent avoir la plus grande expressivité : le pain de la vie, l’eau et l’huile mais aussi l’encens, les cendres, le feu et les Fleurs et presque tous les éléments de la création ont leur place dans la liturgie comme une offrande au Créateur et contribuent à la dignité et à la beauté de la création. »
